(Le titre est un peu facile, mais il faut dire que les disques d’Elvis achetés à Graceland tournent toujours en boucle dans le camping-car et que c’est donc avec cette chanson que nous avons accueilli les grands-parents venus nous rejoindre pour une dizaine de jours.)
Arrivée à Las Vegas de nuit par le nord – magique : on découvre la ville d’en haut comme une immense nappe de lumière dans le désert, d’où émergent les néons colorés du Strip.
Ensuite, rien que de très classique dans notre promenade-découverte de Vegas : matinée à New York, crêpes à Paris, glaces à Venise, dîner dans la stratosphère…
Ce qui est étonnant : la foule. On pourrait penser que ce serait assez calme mi-janvier, mais en réalité il n’y a pas de basse saison, d’autant que la ville a fortement développé son activité d’accueil de congrès.
Justement, nous avons croisé au Venitian une armée de participants à la plus grande foire commerciale du monde sur les armes à feu, le SHOT-Show. Trump était venu les caresser dans le sens du poil l’an dernier. Et cette année, ils publient des communiqués se félicitant de l’affluence record (65 000 personnes tout de même) et des perspectives très positives pour le secteur… Ambiance.
Au fond, dans l’axe du Strip, un gros lingot d’or, propriété d’un monsieur connu pour son bon goût et sa discrétion.
Bien sûr, c’est lui.
A côté de la soucoupe volante qui l’a déposé.
Et pendant ce temps-là, dans la zone 51 toute proche…