Redescendus du parc de Canyonlands avec un pneu à moitié dégonflé la veille en fin d’après-midi (voir article précédent), nous trouvons celui-ci totalement à plat à notre réveil. Nous sommes dimanche, dans la petite ville perdue de Moab, et nous savons pour avoir déjà fait leur connaissance la veille que les garages sont fermés…
Et là, miracle, le responsable du camping se révèle mécanicien à ses heures ; il a tout le matériel et il nous regonfle notre pneu pour que nous puissions rouler vaille que vaille dans le parc des Arches en surveillant si ça tient. Le saint homme. (Je précise que le pneu n’est pas crevé, c’est un bête problème de valve…)
Grâce à lui, nous découvrons donc le parc des Arches, où les arches minérales occupent bien sûr la vedette, mais où toutes les formations rocheuses (falaises, cheminées, labyrinthes, roches équilibristes, etc.), ainsi que la végétation participent à ce décor tantôt fantastique, tantôt lunaire.
Une arche se cachait sur la photo précédente. L’aviez-vous vue ?
Et comme ça ? (Il s’agit de Landscape Arch, 88 mètres de long tout de même).
Vous appelez ça un sentier « facile », vous ? (je crois qu’il faut que le Guide Vert révise ses tablettes…)
Et plus loin : heureusement qu’ils indiquent de temps à autre (pas assez) qu’on est sur le sentier de randonnée, parce que sinon on pu avoir un doute.
Le lendemain, nous quittons le camping du parc à l’aube pour un rendez-vous chez le garagiste…
…à suivre…