Tellement de merveilles vues en quelques heures dans ce coin de l’Arizona (du lac Powell à Monument Valley) qu’on ne sait plus où donner de l’appareil photo (ou du téléphone, vu l’article précédent), ni de l’article de blog. L’avantage, quand on est paresseuse, c’est que ça se passe presque de commentaires…
Par ordre d’apparition :
Horseshoe Bend, méandre du Colorado
Quelques minutes de marche sur le plateau,
et on découvre ça :
Pas facile pour ceux qui ont le vertige et qui voient les autres s’avancer sur des corniches dont il est écrit partout qu’elles peuvent céder et plonger dans le vide à tout moment !
Le lac Powell créé par le barrage de Glen Canyon dans les années 1960 et qui constitue une source d’électricité et une réserve d’eau essentielle pour tout le Sud-Ouest du pays.
Il n’est pas au mieux de sa forme à cause de la sécheresse qui sévit depuis cinq ans, mais il est quand même immense (on n’en voit sur la photo que l’extrémité occidentale ; et il est difficile de se rendre compte de l’échelle, mais ce qu’on aperçoit sur la flaque est une grande marina.)
Pendant ce temps-là, la centrale électrique au charbon des Navajos nous envoyait de mystérieux signaux de fumée.
En fin de matinée, Lower Antelope Canyon et trois des 456 photos qu’on y a prises :
Qui se douterait de ce qu’on trouve là-dessous ?
Monument Valley (vue seulement depuis la grand-route parce que notre camping-car est trop long pour rouler sur la piste qui passe entre les pitons rocheux et que les opérateurs navajos – le site se trouve comme toute la région dans la grande réserve de la tribu – sont vraiment très gourmands…)
Aux abords de Mexican Hat (mais d’où leur est donc venue l’idée d’appeler leur ville « chapeau mexicain » ?!)
Dans l’après-midi, déjà dans l’Utah : Goosenecks State Park, où la rivière San Juan multiplie les méandres,
et la vallée des Dieux, avec une autre piste entre des pitons rien qu’à nous, nah.