Il y a vraiment quelque chose de particulier chez ces petites bêtes… voilà près de trois mois que nous en voyons quotidiennement et partout, et pourtant chaque fois ce spectacle suscite la même exclamation ravie chez la jeune classe: « Oh, un écureuil ! » (Et moi, je ne dis rien pour rester digne, mais je n’en pense pas moins.)

Ils méritaient donc un petit clin d’œil, tant ils font partie du paysage. (A noter que Washington où nous nous trouvons à présent est une ville très verte où la biodiversité est particulièrement bien préservée, de sorte qu’on y croise beaucoup d’autres rongeurs, mais curieusement ceux-ci ne provoquent pas la même réaction…)

Jusqu’à maintenant, les écureuils rencontrés nous paraissaient essentiellement gris, comme il se doit pour des écureuils américains, mais ceux de Washington sont mi-gris, mi-roux.

Et derrière le museum d’Histoire naturelle (mais est-ce un hasard ?), nous avons même croisé un albinos.